Et vous pouvez lire ci-contre une publicité de l'INPI, lui si sectaire, d'ordinaire, sur le brevet qu'il a également fort tendance à présenter comme la septième merveille.
Pourtant, amalgamé aux "produits" made in INPI, on trouve le droit d'auteur, présenté sans explication particulière.
Selon cette pub émanant d'un organisme officiel, le public ne peut éviter de penser que le droit d'auteur et le brevet sont bonnet blanc et blanc bonnet.
Moralité: Il y a des imbéciles qui présentent le brevet comme un traitement médical, et des malhonnêtes qui prétendent qu'il représente la seule protection possible.
Même l'INPI tend à nous "vendre" du droit d'auteur, bien qu'il n'y soit pas autorisé par son statut... C'est dire !
Ce sont les paradoxes du monde moderne, à moins qu'il ne s'agisse de luttes d'influence. On vous aura prévenus.